Romans, Souillé
Laisser un commentaire

Chapitre 86 – Le plan il y a huit ans

Traduction anglaise par congeebrain

Traduction française par Tian Wangzi

Lu Zhanxing sourit, disant : « Je l’ai déjà tué, qu’y a-t-il d’autre à dire? »

« Lu Zhanxing! » L’expression de Mo Xi était furieuse alors qu’il disait durement : « Sais-tu comment sont les choses à l’extérieur? »

« Comment elles sont? »

« Après la défaite à la montagne des Pleurs du Phénix, tes 70 000 soldats sont morts au combat, les 30 000 qui restent ont été emprisonnés en attendant leur sentence, les morts n’ont même pas une pierre tombale, les vivants ne savent pas quelle voie ils peuvent prendre! Et Gu Mang… tous ses mérites ont été effacés, Sa Majesté ne lui donnera plus aucune responsabilité, presque tout ce qui comptait pour lui a été complètement détruit, mais tu dis seulement que « tu l’as déjà tué »? »

Lu Zhanxing écouta en silence, ses doigts rugueux faisant constamment tourner les dés dans ses mains. Après un moment, il montra les dents, éclatant dans un rire moqueur.

« N’est-ce pas une bonne chose, de ne plus recevoir de responsabilités de Sa Majesté? »

Mo Xi fut soudainement à court de mots!

Qu’est-ce que… Lu Zhanxing voulait dire?

Il était vraiment trop déficient dans sa connaissance de son frère Gu Mang, probablement parce que Lu Zhanxing avait grandi avec lui et qu’ils étaient inséparablement près l’un de l’autre. Mo Xi avait vu Lu Zhanxing presser Gu Mang dans ses bras et lui frotter la tête, riant aux éclats d’innombrables fois, comme il avait vu Gu Mang aider Lu Zhanxing à panser ses blessures et à appliquer de l’onguent encore et encore. Son cœur lui semblait obstrué.

Même s’il avait reçu de nombreuses fois la confirmation que Lu Zhanxing aimait les femmes, qu’il les aimait beaucoup, et que Gu Mang n’avait pas d’autres sentiments envers lui, le cœur de Mo Xi était tout de même obstrué. Il se sentait toujours inconfortable lorsqu’il voyait Lu Zhanxing.

Et de l’autre côté, Lu Zhanxing n’avait pas de bonté pour Mo Xi non plus.

De la perspective de Lu Zhanxing, son ami d’enfance, pour une raison inexplicable, avait gagné une amitié intime avec un jeune maître de la noblesse; c’était sans dire qu’il y aurait des mésententes avec l’ajout d’une troisième personne. Sans mentionner que ce jeune maître avait monopolisé le temps libre de Gu Mang. Ce dernier devait l’accompagner lors des patrouilles nocturnes, lorsqu’ils se cultivaient, parfois même quand il était lui-même blessé, nécessitant que Gu Mang s’occupe encore plus de lui; le résultat était que cet autre jeune maître se faisait immédiatement blesser aussi, forçant Gu Mang à faire des allers et retours entre les deux.

La première fois, c’était une coïncidence, mais après chaque fois consécutive, Lu Zhanxing soupçonnait que ce jeune M. Mo le faisait par exprès.

Alors, au départ, Lu Zhanxing était resté courtois envers Mo Xi. Plus tard, il voulait de moins en moins reconnaître son existence. S’ils se croisaient, les deux prétendaient ne pas avoir vu l’autre, ou, si Gu Mang était présent, ils hochaient la tête ou se saluaient à contrecœur.

Ce genre de relation signifiait que ce que Mo Xi comprenait de Lu Zhanxing, ce n’était qu’en surface. Il pensait au départ que Lu Zhanxing aurait des regrets ou de la honte pour la catastrophe qu’il avait causée, mais il n’aurait jamais pensé que l’autre lui montre ce genre d’attitude « J’attends avec impatience ce genre de fin ».

En voyant le visage pâle comme la mort de Mo Xi, Lu Zhanxing changea pour une position plus confortable sur le lit, puis il continua à lancer ses dés. Alors qu’il les lançait, il dit : « Dans tous les cas, je suis sur mon lit de mort. Il n’y a pas de mal à ce que je te dise des choses directement. »

Mo Xi grinça des dents : « Quelles autres honteuses dernières paroles veux-tu cracher? »

Lu Zhanxing ricana : « Ce ne peut pas être considéré comme honteux. Je crois que je suis horriblement brillant, seulement je dois sacrifier un peu plus que ce que je devrais. Mais j’ai plus ou moins atteint le but que je voulais atteindre. »

« … Qu’est-ce que tu veux dire? »

Lu Zhanxing montra les dents comme un loup, glissant un regard à Mo Xi en provocation : « Ne croyez-vous pas tous que j’ai tué cet ambassadeur parce que je le soupçonnais d’avoir un but inconnu, et que, enragé par son impolitesse, je l’ai décapité sous un moment d’impulsion dans la tente militaire? »

Les lèvres de Mo Xi bougèrent légèrement, demandant doucement : « Est-ce faux? »

Lu Zhanxing croisa les jambes, le réprimandant froidement : « Xihe-jun, est-ce que vous me méprisez, ou est-ce que vous méprisez Mang’er? » Son ton était imprudent, son expression plutôt indomptable. « Mang’er a grandi avec moi. Si j’étais vraiment aussi stupide, aussi impulsif, croyez-vous qu’il m’aurait nommé en tant que général adjoint? Il est le démon du champ de bataille, pas un idiot qui prend des décisions selon ses émotions. »

La chandelle dans la cellule versa silencieusement des larmes de cire.

Les mots de Lu Zhanxing faisaient trembler Mo Xi de peur.

« Tu l’as fait exprès… »

« Après tellement d’années, je l’ai suivi sur de nombreux champs de bataille. Quand ai-je déjà fait quelque chose sur un moment d’impulsion? » dit Lu Zhanxing avec nonchalance. « Oui, je l’ai fait exprès. »

Soudainement, il y eut une bourrasque de vent. Mo Xi leva Lu Zhanxing, le poussant violemment contre le mur! À cause du vent, deux chandelles s’éteignirent, et la cellule s’assombrit, mais les yeux de Mo Xi semblaient briller davantage, comme s’ils étaient trempés dans des flammes, qu’ils crachaient des étincelles, remplis de colère et d’incrédulité.

Ses doigts craquaient, comme s’il voulait rompre le cou de Lu Zhanxing.

« LU ZHANXING! ES-TU FOU, TABARNACK?! SAIS-TU CE QUE TU FAIS? SAIS-TU QUE TU AS PLUS OU MOINS DÉTRUIT SA VIE??!! »

Le visage de Lu Zhanxing devenait rouge sous la main de Mo Xi. Il retenait son souffle, lui jetant un regard en coin. Ils en étaient là, mais il pouvait quand même laisser sortir un semblant de rire moqueur et prétentieux.

« Détruire sa vie, c’est mieux que de le voir détruire sa vie et celle des autres. »

Chaque mot était poussé à travers ses dents, la lumière brillant dans les yeux de Lu Zhanxing.

« C’est mieux que… le laisser garder ses rêves voués à l’échec, menant une bande d’idiots… prêts à risquer leur vie pour vous… » La poigne de Mo Xi était trop serrée, il y avait des veines protubérantes sur son front, mais Lu Zhanxing continuait de se moquer. « Des idiots… qui donnent leur vie pour d’autres! Sa Majesté a eu raison de lui retirer ses responsabilités!! »

Comme s’il avait été mordu par un chien sauvage, Mo Xi le relâcha soudainement après avoir entendu ces cris nus. Il resta sur place, haletant, si enragé que ses mains tremblaient, mais aussi choqué à en être gelé de la tête aux pieds.

Exactement combien de vérités d’il y a huit ans ont été cachées dans le sang et la mort?!

Dès qu’il le lâcha, Lu Zhanxing se pencha vers l’avant, courbé, pour tousser violemment alors qu’il cherchait son souffle. Ce n’est qu’alors qu’il tourna la tête pour le regarder.

La voix de Mo Xi était presque irréelle, indescriptible : « Tu as fait exprès de le forcer à laisser son poste? »

« Vous avez tort. » Lu Zhanxing lécha ses lèvres, se redressant lentement. « Je l’ai sauvé. »

Mo Xi le regarda comme s’il avait dit la blague la plus absurde : « Tu l’as sauvé? »

« Oui. » Lu Zhanxing continua : « Comment un jeune maître noble né dans la richesse pourrait vraiment comprendre nos circonstances? Depuis que l’ancien empereur a fait une exception pour commencer à utiliser Mang’er, il s’est battu dans d’innombrables batailles, grandes et petites, et il n’a jamais vraiment été vaincu avant. Mais plus haut il vole, plus violentes les critiques qu’il reçoit. Xihe-jun, avez-vous entendu ces commentaires, avant? »

« … »

Ces rumeurs scandaleuses venaient de nulle part, comme d’innombrables démons et monstres dansant sauvagement au milieu de la nuit. Comment Mo Xi ne les aurait-il pas entendues avant?

Lorsque Gu Mang n’était qu’un petit officier militaire, il n’y avait que quelques commentaires et critiques. Mais plus tard, alors que Gu Mang était devenu de plus en plus vaillant et incroyable, ces mots glaciaux et vicieux s’étaient changés en d’innombrables serpents qui glissaient de langues inconnues, pour au final, s’enlacer fermement autour de Gu Mang.

« En pariant son temps, utilisant une main pour couvrir le ciel. »

« Quelle « Bête de l’autel »? Je crois qu’il n’a pas de vraies capacités, ses tactiques et ses illusions sont plutôt tordues et non orthodoxes, vous ne croyez pas qu’il n’a aucun sens critique, qu’il n’évite même pas la magie noire du Liao? »

« Ce n’est qu’un esclave, il n’est pas né d’une famille noble, alors avoir des ambitions impures est extrêmement normal. Si Sa Majesté lui fait confiance, excusez-moi mon manque de respect – mais quelque chose va arriver à Chonghua tôt ou tard. »

Il y en avait même d’autres qui comparaient directement Gu Mang avec le démon du passé.

« Il est le prochain Hua Po’an! »

« Élever un tigre, c’est inciter une calamité! Élever un tigre, c’est inciter une calamité! »

Lu Zhanxing regarda l’expression de Mo Xi, pinça ses lèvres délicatement courbées, et rit doucement : « On dirait que Xihe-jun en a entendu quelques-unes. »

Il s’avança vers la petite table pour s’asseoir. Il lança ces deux dés sur la table, puis se versa une demi-tasse de vin pour lui-même, la menant à ses lèvres pour lentement la siroter.

« Ces mots, Mang’er lui-même les a plus ou moins tous entendus. J’étais amèrement en colère, mais il me disait toujours que ça ne valait pas la peine de s’en inquiéter, que tant qu’on faisait assez bien, ces voix allaient se taire tôt ou tard, que de plus en plus de gens comprendraient que parmi les esclaves de ce monde, il n’y avait pas seulement Hua Po’an, il y avait aussi lui, Gu Mang, et moi, Lu Zhanxing. »

Lu Zhanxing rit cruellement.

« Il est juste naïf à ce point. Ou pas si naïf. C’est lui qui a toujours pensé au positif dans la vie. Il vivait clairement dans la boue, mais il relevait toujours la tête pour regarder le hautain soleil. »

Mo Xi dit doucement : « Oui. Il a toujours été comme ça. »

« Vous comprenez probablement pourquoi il est un dieu de la guerre, » continua Lu Zhanxing. « Il ne se décourageait pas, peu importe la difficulté de la bataille. Dès qu’ils le voyaient, tout le monde sentait qu’il n’y avait pas tant à craindre. Il semblait avoir un sang chaud infini et inépuisable, plus que suffisant… » Il fit une pause, se moquant : « Plus que suffisant pour que les sangsues de Chonghua le suce jusqu’à être ballonné. »

« C’est ce que tu crois! » Cette phrase perçait les oreilles. Mo Xi regarda froidement le visage de Lu Zhanxing. « C’est pourquoi il est le dieu de la guerre, et pas toi. Il a déjà dit qu’il était allé de son plein gré pour ouvrir de nouvelles frontières pour Chonghua, il a déjà dit qu’il voulait se prouver des choses pour lui-même. »

Lu Zhanxing sourit seulement d’un air sombre.

« Ce n’est pas tout le monde qui marche vers les champs de bataille en sentant que son sang est drainé, » dit Mo Xi. « Gu Mang a dit qu’il avait ses propres idées. Il a lui-même choisi cette voix de son plein gré. »

« Haha… hahaha, de son plein gré… de son plein gré… » Lu Zhanxing pencha sa tête vers l’arrière pour rire, les chaines sur ses jambes claquant alors qu’elles se balançaient. « C’est pourquoi j’ai dit qu’il est était stupide! Regardez-le, si illustre, si glorieux, et pendant de nombreuses années, qu’a-t-il prouvé? Est-ce que ces voix qui le critiquaient ce sont arrêtées? Tout ce qu’il n’a fait, c’est terrifier encore plus ces vieux nobles, ils voient que ce visage est de plus en plus similaire à Hua Po’an – après de nombreuses années, à constamment se prouver, je n’ai jamais vu quelqu’un qui ne l’aimait pas changer d’avis, j’ai seulement vu des gens qui étaient d’abord tolérants commencer à le suspecter à chaque instant. Xihe-jun, dites-moi, qu’a-t-il prouvé? Qu’il a le même pouvoir de lever une armée que Hua Po’an?! »

Mo Xi était soudainement enragé : « ALORS, QU’EST-CE QUE TU VOULAIS QU’IL FASSE? POUR L’EMPÊCHER D’ÊTRE STUPIDE, TU VOULAIS JUSTE LE POUSSER AU DÉSESPOIR, LE FORCER À MARCHER VRAIMENT SUR LA VOIE DE HUA PO’AN?!!! »

Lu Zhanxing frappa sur la table : « JE VOULAIS SEULEMENT QU’IL ARRÊTE!! »

Du vin éclaboussa sous la force de sa tape, les dés roulant aussi sur la vieille table pourrie.

« …Je voulais juste qu’il soit capable de s’arrêter, à la fin, » répéta Lu Zhanxing. Cette phrase semblait avoir poignardé une part douce dans son cœur rude, son regard s’amenuisa graduellement, sa voix s’adoucissant soudainement, murmurant : « Je voulais vraiment qu’il soit capable de se réveiller… d’arrêter… de ne pas être si naïf. »

Lu Zhanxing ferma les yeux, la rougeur de son visage des émotions passionnées n’avait pas encore disparu, mais sa voix était déjà rauque par le désespoir, sans la force de renverser une situation impossible : « Ça fait tellement d’années… son futur a l’air si brillant, vous l’imaginez se faire retirer du registre des esclaves, vous voyez sa puissance grandir sur la terre, des milliers de personnes l’applaudissant, mais quand je le regarde, je sens qu’il se tient sur un iceberg sur le point de fondre, entouré de requins qui attendent de le déchirer dès qu’il touchera l’eau.

« Un grand pouvoir menace le dirigeant. » Cette phrase, si ça ne le décrit pas, est-ce que ça vous décrirait? » Lu Zhanxing leva la tête pour regarder Mo Xi. « Xihe-jun, pourriez-vous vous permettre ce jugement? »

« … »

« Mais il refuse d’y croire. »

Alors que Lu Zhanxing parlait, il recommença à jouer avec les dés rouges, les faisant lentement tourner sur la table. « Alors, écoutez, il n’a jamais été vaincu avant, son armée n’a jamais été vaincue non plus. Personne n’a de réelle raison de lui faire quoi que ce soit – mais il ne peut pas passer sa vie sans perdre. Et la conclusion de cette défaite est destinée à être plus tragique que pour tout autre général avec « de grands pouvoirs ». »

Le cœur de Mo Xi se serra.

Sans une once de politesse, Lu Zhanxing dit : « Parce que, depuis le début, il n’est rien d’autre qu’un chien que vous avez ramassé. »

Si quelqu’un avait osé dire ces choses à Mo Xi avant qu’il n’entre dans le miroir temporel, cela n’aurait provoqué que le complet déni de Mo Xi. Mais l’idée que « Gu Mang n’est rien d’autre qu’un chien », il venait de l’entendre de la bouche de l’empereur d’il y a huit ans, il n’avait pas les mots de le réfuter.

Plus il découvrait de vérités, plus son cœur le faisait souffrir, plus son sang se figeait.

Le feu dans son cœur semblait lentement s’éteindre.

Lu Zhanxing soupira : « Le nouvel empereur vient d’accéder au trône; Mang’er ne l’a pas encore beaucoup fâché. À ce point, une défaite à cause de moi, le seul résultat est que son pouvoir lui est retiré et qu’il est renvoyé, mais il n’en perd pas encore la vie. Mais s’il avait continué ainsi, si imprudent, lorsqu’il aurait atteint son sommet, s’il avait dû perdre alors, il n’aurait reçu que la mort sans un corps intact. »

Mo Xi sentit un goût amer dans sa gorge : « Alors, intentionnellement, tu as… »

« Oui. » Lu Zhanxing sourit légèrement, croisant les bras. « Ce Lu peut prédire l’avenir, il peut percer la volonté des cieux. Oui, je l’ai fait perdre intentionnellement. C’est moi qui ai brisé son avenir intentionnellement. La réalité a prouvé que je ne m’étais pas trompé – regardez. Bien sûr, il ne lui reste plus rien. »

Le bout des doigts de Mo Xi tremblait; il regardait fixement le visage de Lu Zhanxing. Ce n’est qu’alors qu’il comprit un peu comment était Lu Zhanxing.

Un lunatique.

Un lunatique qui avait tout risqué sur un coup.

Chaque mot était difficilement extrait derrière ses dents serrées : « Lu Zhanxing! Sais-tu… 70 000 soldats au sang chaud – ils sont morts par ta faute! »

Lu Zhanxing dit : « Vaut mieux ça qu’un futur avec 170 000 morts, ou 700 000 morts. »

« Sais-tu que le désir de la vie de Gu Mang… tu lui as tout gâché?! »

« Vaut mieux ça qu’être déchiré en morceaux ou écartelé par des chevaux à l’avenir. »

Le feu enragé saisit Mo Xi, son cœur l’élançant violemment. Il tira Lu Zhanxing à lui, le bout des doigts tremblants, et le gifla férocement au visage!

L’auteure a quelque chose à dire :

« Comment Lu Zhanxing a commencé à détester Xi-Mei »

Lu Zhanxing : Mang’er, allons en patrouille.
Gu Mang : Ok, ok.
Mo Xi : Shixiong, je n’ai pas d’expérience en patrouille…
Gu Mang : …Ah? Alors, je ferais mieux de t’emmener.
Lu Zhanxing : Mang’er, allons nous cultiver~ 
Gu Mang : Ok, ok~
Mo Xi : Shixiong, je n’ai jamais étudié cette méthode avant. Shixiong, peux-tu me l’enseigner?
Gu Mang : Ah… c’est comme ça… bon, pas de soucis, je vais te l’enseigner.
Lu Zhanxing : Mang’er!!! Je suis blessé!!!! Viens m’aider à appliquer de l’onguent! (cette fois, ce M. Mo ne pourra pas me le voler!!)
Mo Xi : (rire froid, se frappe lui-même avec une boule de feu) Je vais bien, va t’occuper de Lu-shixiong. (manipulateur)
Gu Mangmang : Approche, je vais y jeter un œil, est-ce que c’est grave?
Lu Zhanxing : Je m’en vais!

Laisser un commentaire