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Le général au cœur trop sale

军爷心太污 par Lu Tian’yi Genre : Immoralité, xianxia, danmei, HE Statut du roman : Fini, 8 chapitres Traduction française : Tian Wangzi Version originale : JJWXC Si vous appréciez la traduction, pensez à encourager l’auteur d’origine. Résumé : Un disciple de la secte Tang prend par erreur le passeport de son senior… Résultat, il a été arrêté par erreur. C’est ainsi qu’il a fait la connaissance d’un général particulièrement sale, pervers et corrompu. Et depuis ce jour, il a commencé à s’enfuir, se faire arrêter à nouveau, s’enfuir, encore arrêté, s’enfuir, et encore arrêté… Toute une vie de malchance… *Avertissement : Ce roman sous-entend des scènes d’absence de consentement/de consentement extorqué ou douteux. Liste des chapitres Chapitre 1 Chapitre 2 Chapitre 3 Chapitre 4 Chapitre 5 Chapitre 6 Chapitre 7 Chapitre 8 – Fin Chapitre 1 >>

Chapitre 100 – Mo Xi le serviteur

Traduction française par Tian Wangzi << Chapitre précédent Chapitre suivant >> En frottant ce sang frais sur sa peau, toutes les fines rides commençaient à lentement s’effacer. Dans la vapeur de l’eau qui s’élevait, l’apparence de Wuyan changeait graduellement. Son visage légèrement relâché se raffermissait. Les légers plis entre ses sourcils semblaient se détendre avec la vapeur, et les arches sur le coin de ses lèvres disparaissaient. Les fines lignes sur ses lèvres s’estompaient aussi. Toute sa personne devenait aussi délicate que le premier bourgeon de la première fleur au printemps. Le bain de sang transformait cette femme dans la quarantaine en une belle et jeune adolescente. Elle était délicate, charmante, comme une fleur baignée dans un bain de sang. En absorbant le sang des âmes mortes depuis des milliers d’années, sa peau reprenait de la couleur, et son expression semblait pure et innocente. Wu Yan prit du sang dans ses mains et but une gorgée du liquide rouge, puis, elle ouvrit les yeux. Même ses yeux étaient aussi clairs que ceux d’une jeune demoiselle …

Chapitre 99 – Entrer

Traduction française par Tian Wangzi << Chapitre précédent Chapitre suivant >> Ils aperçurent une dépression abyssale dans la dense forêt devant eux. Sur trois des côtés de la dépression, des cadres en bois fabriqués avec du bois submergé vieux de 10 000 ans formaient des croix, au sommet desquels pendaient de lourdes chaînes de fer; ce devait être des plateformes d’exécution. Au centre de la dépression se trouvait un énorme bassin de sang dans lequel semblait s’entasser des os, les squelettes emmêlés les uns aux autres. Les macchabées devaient reposer dans ce bassin depuis des milliers d’années. Au-dessus du bassin sanglant, le clan des chauves-souris de feu avait bâti un pavillon d’eau, allumant les torches des enfers qui brûlaient d’un feu fantomatique. L’expertise de la construction était flagrante, seulement, en y regardant de plus près, les hommes ne pouvaient qu’avoir la nausée… Le sol en sable fin et en petits cailloux était pavé d’innombrables dents humaines. Les lampes étaient soutenues par un cadre en vertèbres, le support inversé au ciel… Le pavillon avait en fait été …

Chapitre 98 – Est-ce que tu me hais?

Traduction française par Tian Wangzi << Chapitre précédent Chapitre suivant >> Même si Mo Xi n’avait pas donné de détails, les autres n’étaient pas stupides, il était évident qu’il voulait prendre de la distance avant de révéler sa position et de servir d’appât pour attirer Wuyan vers lui. Jiang Yexue dit immédiatement : « Comment le pourrais-tu? C’est trop dangereux. » « Si je ne peux même pas m’occuper d’un groupe de chauves-souris, » dit Mo Xi en resserrant son compartiment d’armes dissimulées à son poignet, « alors je ne mérite plus ma place à la tête de l’armée de la Frontière du nord. » Jiang Yexue savait qu’il était obstiné depuis l’enfance. En voyant qu’il ne pouvait pas l’en dissuader, il ne put que se tourner vers Gu Mang. L’expression de Gu Mang était indéchiffrable dans la lumière dansante du feu de camp, donnant l’impression qu’il ne savait pas s’il devait se soucier de cette affaire ou non, mais au bout d’un moment, il finit tout de même par prendre la parole : « Xihe-jun, pourquoi tu t’empresses à la rencontre …