Traduction française par Tian Wangzi << Chapitre précédent Chapitre suivant >> Peu importe à quel point Mo Xi pouvait être lent à comprendre ce sujet, il comprit enfin ce que l’expression de Li Gong voulait dire alors, et il ne put s’empêcher de se fâcher. Il tourna la tête pour le retrouver, mais ce vieux renard s’était déjà échappé. Mo Xi resta sans mot un moment avant d’entrer dans le hall en soupirant. Il s’arrêta devant le bureau de la princesse Mengze et demanda : « …Pourquoi tu es là? » La nuit était claire et froide. Le corps de Mengze était faible, et elle portait une légère robe cyan. Elle toussa légèrement, mais sa voix était chaleureuse : « Mon frère est malade, et il n’a pas eu le temps de réviser ces documents aujourd’hui, alors je suis venue l’aider. » Murong Mengze avait beau être une femme, elle pouvait être nommée parmi les trois gentilhommes de Chonghua, alors aider ainsi n’était pas déraisonnable. Elle traitait les gens avec humanité et sagesse, elle connaissait bien la situation politique et militaire …