Chapitre 41- Beauté incomparable
Li Qingqian utilisa sa main pour bloquer le ciel, étouffant des sanglots en murmurant : « Tout est faux… »
Li Qingqian utilisa sa main pour bloquer le ciel, étouffant des sanglots en murmurant : « Tout est faux… »
Il se dit que Gu Mang et lui étaient similaires – séparés par le chiasme béant des classes, sous la haine oppressante de la famille et du pays. Gu Mang n’avait pas pu tolérer la douleur, alors il l’avait quitté.
Il y a trois ans, elle ne voulait que vivre bien, et c’était pour ça qu’elle avait autant pleuré alors qu’il s’en allait.
Mais maintenant, elle avait peur.
Il prit nonchalamment une humble fleur en tissu. Le matériel et la conception étaient pauvres, et il la jeta devant Li Qingqian. « Alors, que dis-tu de ça? Cinq porcelaines blanches. Pour garder la demoiselle heureuse, ne soyez pas radin. »
Murong Chuyi récupéra trois coupes de jade en pétale de lotus, une pour lui, une pour Murong Lian et une pour Mo Xi.
Yue Chenqing était sans voix. « …Et moi? Je n’en ai pas? »
L’oncle Yue s’empressa de hocher la tête, mais Murong Chuyi dit doucement : « Les flammes nues sont interdites dans ma cour. »
Murong Lian était perplexe : « Pourquoi? »
« Ça exploserait. »
Si seulement leurs dettes et leur haine pouvaient être facilement mises de côté, si l’abîme entre eux pouvait s’atténuer aussi rapidement que cette douleur, comme ce serait bon.
n une fraction de seconde, Mo Xi eut un doute sur la simple et insensible façon dont il avait prononcé les mots « Je te veux aussi » qu’il avait utilisés plus tôt pour communiquer… Est-ce qu’il avait choisi ces mots pour faciliter la compréhension à Gu Mang, ou parce que le désir accumulé dans son cœur depuis toutes ces années menaçait de s’échapper de son cœur verrouillé?
« Qui d’autre croyiez-vous que c’était? » Bottant le corps de la demoiselle sans ménagement sur le côté, il dit en se moquant : « Le cuisinier qui s’est échappé? »
Un gloussement et se tord son beau visage
Deux gloussements et des larmes de sang coulent
Trois gloussements et nul ne peut passer