Chapitre 84 – Gu Mang il y a huit ans
Traduction anglaise par congeebrain Traduction française par Tian Wangzi << Chapitre précédent Chapitre suivant >> Le Boudoir du Parfum Laissé Derrière était empli de fumée qui montait en spirale, un doux tapis rouge et une porte en bambou, grande ouverte, montraient la laque rouge et la balustrade du balcon gravée. À l’extérieur du balcon, un paulownia était en fleurs, un doux brouillard de rose pâle et de mauve emplissant ses branches. Son Gu-shixiong s’appuyait contre la balustrade de bois, une jambe pliée, l’autre droite, tenant une suona de la couleur du cuivre rouillé. Cette suona brillait comme un vieux sou, la soie blanche du ruban accroché autour de son manche flottait gentiment dans la brise nocturne. L’arme divine Fengbo. Dans cette scène fleurie, Gu Mang tenait Fengbo, la menant à ses lèvres pour souffler, essayant des notes, puis fermant les yeux pour jouer une série de notes rauques. « Les jeunes disparus prirent l’épée, leur sang versé dans le sable… leurs os depuis longtemps en poussière. » Gu Mang avait déjà été le meilleur pour jouer …