To Be Chapitre 12
Traduction française par Tian Wangzi << Chapitre précédent Chapitre suivant >> << Chapitre précédent Chapitre suivant >>
Traduction française par Tian Wangzi << Chapitre précédent Chapitre suivant >> << Chapitre précédent Chapitre suivant >>
L’empereur Hong Zheng accepta le thé et prit une gorgée, puis il sourit : « Je ne m’attendais pas à ce que le second fils de Mu Jin ait une élégance aussi naturelle. » En parlant, il lui remit une paire de moutons en jade en signe de bonne fortune.
Traduction française par Tian Wangzi << Chapitre précédent Chapitre suivant >> Désolé d’avoir mis autant de temps pour sortir ce chapitre >.> Entre une grosse rechute de ma dépression et les heures supplémentaires au travail (j’ai travaillé 30h en deux jours en fin de semaine >.>), j’ai enfin réussi à finir le chapitre aujourd’hui u.uJe suis pas mort, j’arrête pas mes trads, je fais juste ce que je peux u.u Merci de votre patience et de continuer à lire! Oubliez pas de soutenir la version originale! << Chapitre précédent Chapitre suivant >>
Traduction anglaise par congeebrain Traduction française par Tian Wangzi << Chapitre précédent Chapitre suivant >> « Xihe-jun, que crois-tu que je t’ai caché? » Alors que Gu Mang lui posait cette question, il y avait une indifférence indescriptible sur son visage. Son sourire et sa malice avaient été repris, mais le ressentiment et son caractère perçant n’avaient pas encore été dévoilés. Il regardait seulement Mo Xi comme s’il regardait un étranger. Naturellement, Mo Xi ne pouvait pas dire : « Est-ce que tu comptes déserter? », alors il ferma les yeux, et dit d’une voix basse : « Je sais que tu es encore grandement insatisfait de Chonghua, de Sa Majesté, je… » « Arrête. » Gu Mang leva la main, le bout des doigts touchant les lèvres de Mo Xi. Il le regarda, et soudainement il sourit, un sourire qui contenait trois parts de douceur pour sept parts de danger flottant à la surface de son visage. « Ma beauté, tu peux coucher avec qui tu veux, mais tu ne peux pas dire ce que tu veux. Maintenant qu’on m’a retiré mon rang, que le …
L’empereur Hong Zheng accepta le thé et prit une gorgée, puis il sourit : « Je ne m’attendais pas à ce que le second fils de Mu Jin ait une élégance aussi naturelle. » En parlant, il lui remit une paire de moutons en jade en signe de bonne fortune.
Traduction anglaise par congeebrain Traduction française par Tian Wangzi << Chapitre précédent Chapitre suivant >> Le Boudoir du Parfum Laissé Derrière était empli de fumée qui montait en spirale, un doux tapis rouge et une porte en bambou, grande ouverte, montraient la laque rouge et la balustrade du balcon gravée. À l’extérieur du balcon, un paulownia était en fleurs, un doux brouillard de rose pâle et de mauve emplissant ses branches. Son Gu-shixiong s’appuyait contre la balustrade de bois, une jambe pliée, l’autre droite, tenant une suona de la couleur du cuivre rouillé. Cette suona brillait comme un vieux sou, la soie blanche du ruban accroché autour de son manche flottait gentiment dans la brise nocturne. L’arme divine Fengbo. Dans cette scène fleurie, Gu Mang tenait Fengbo, la menant à ses lèvres pour souffler, essayant des notes, puis fermant les yeux pour jouer une série de notes rauques. « Les jeunes disparus prirent l’épée, leur sang versé dans le sable… leurs os depuis longtemps en poussière. » Gu Mang avait déjà été le meilleur pour jouer …
L’empereur Hong Zheng accepta le thé et prit une gorgée, puis il sourit : « Je ne m’attendais pas à ce que le second fils de Mu Jin ait une élégance aussi naturelle. » En parlant, il lui remit une paire de moutons en jade en signe de bonne fortune.
Traduction française par Tian Wangzi << Chapitre précédent Chapitre suivant >> << Chapitre précédent Chapitre suivant >>
Traduction anglaise par congeebrain Traduction française par Tian Wangzi << Chapitre précédent Chapitre suivant >> Il était direct au point. L’empereur ne tournait pas autour du pot non plus, ricanant : « Tant que tu comprends ce que veut dire Cet Homme Solitaire. » Mo Xi resta silencieux un moment, puis dit : « Gu Mang est mon véritable ami. Maintenant qu’il est dans cet état, si je l’abandonne et lui tourne le dos, ce serait amèrement décevant. » « Hm. Être loyal, c’est naturellement juste. Cet Homme Solitaire ne vous séparerait pas tous les deux avant la mort[1]. » Les doigts élancés de Sa Majesté jouèrent avec la chaîne de perles. « Mais maintenant qu’il est un criminel, dans l’œil de la tempête, Xihe-jun, ne devrais-tu pas éviter de faire des choses qui provoqueraient des rumeurs ou des malentendus[2]? » « Si la silhouette d’une personne est droite et juste, elle ne craint pas que son ombre soit tordue. Je lui dois beaucoup. En quoi ce n’est pas convenable que je le persuade un peu? De plus, maintenant que le cœur de Gu Mang est …
Traduction française par Tian Wangzi << Chapitre précédent Chapitre suivant >> << Chapitre précédent Chapitre suivant >>