La femme passe en premier, le pays passe en second, et le mari est de moindre importance.
Se tenant à l’extérieur de la porte en tenant un oreiller, Jing Shao regardait le ciel. Il devait d’abord se réconcilier avec sa femme. Jing Shao serra le poing et cogna contre la porte : « Jun Qing, je sais que j’ai eu tort, laisse-moi entrer! »
Dans la faible lueur des chandelles, il regarda sans ciller le visage de Gu Mang. Avec tellement de haine, tellement d’amour, tellement…
Traduction française par Tian Wangzi << Chapitre précédent Chapitre suivant >> Encore une fois, je n’ai pas traduit la section des bonus relatifs à l’application, il manque une partie des images pour les liens dans cette section. Mais c’est tout. Bonne lecture ~ << Chapitre précédent Chapitre suivant >>
Traduction anglaise par Jouissance de Exiled Rebels Scanlations Édition anglaise par KarateChopMonkey Traduction française par Tian Wangzi << Chapitre précédent Il ne savait si c’était parce que l’âme de Chu HuanZhi s’était séparée et avait erré dans le cosmos trop longtemps, mais les fragments d’âme maintenant rassemblés ne pouvaient plus se rassembler entièrement en une. Sans compter la fusion, elles se détestaient et se haïssaient, ne voulant rien d’autre que de tuer les autres. Au final, Chu HuanZhi dut utiliser la source de pouvoir divin pour créer d’autres corps pour lui-même, et donner à chacune des six âmes son corps à elle. Plus intéressant encore, les consciences de Chu YunShu et de Chu YunZhi avaient été mélangées depuis trop longtemps, et la technique de séparation de l’âme ne pouvait pas séparer leurs consciences. Au final, ils devaient encore partager le même corps. Cela avait donné une vision difficile à croire. Les immortels voyaient souvent le Xianjun du Son divin, qui tenait le rythme de la musique dans le monde, se battre contre lui-même pour obtenir …
Dans la faible lueur des chandelles, il regarda sans ciller le visage de Gu Mang. Avec tellement de haine, tellement d’amour, tellement…
« Que j’arrête? » La voix de Chu HuanZhi était basse et rauque. Il n’y avait aucun indice de son calme habituel : « QingQing, tes pleurs me disent oui. Tu vois? Ta peau est même passée au rouge. »
Traduction française par Tian Wangzi << Chapitre précédent Chapitre suivant >> Un chapitre complet? Sans trucs qui manquent? Wow. << Chapitre précédent Chapitre suivant >>
Dans la faible lueur des chandelles, il regarda sans ciller le visage de Gu Mang. Avec tellement de haine, tellement d’amour, tellement…
Chu HuanZhi fit une vague de la main, et une force terrifiante enveloppa Chu WuQing à partir du sol, le poussant dans ses bras. Il caressa tendrement les joues tachées de larmes du jeune homme et dit, peiné : « Tout est de ma faute. » Blâme-moi pour ne pas avoir pu te protéger.
La claque retentit forte et claire, à la fois lourde et cruel, comme s’il voulait lui faire payer sept ans de haine en un coup. Après l’avoir frappé, la propre main de Mo Xi lui faisait cruellement mal, le bout des doigts tremblants sous les violentes fluctuations de son humeur.
Traduction Tian Wangzi 