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Chapitre 102 – Confiance

Traduction française par Tian Wangzi << Chapitre précédent Chapitre suivant >> C’était vraiment au-delà de ce à quoi ils auraient pu s’attendre, tous les deux. Ils savaient que Chen Tang avait une voie divine, mais il était indiscutablement un homme mortel ordinaire, il n’avait pas transcendé vers l’immortalité. Ainsi, Gu Mang murmura : « Comment est-ce possible… » Mo Xi avait les sourcils fermement froncés. Il regarda la sphère lumineuse et secoua la tête : « Commençons par regarder. » Dans l’image, Chen Tang leva un doigt de la couleur du jade pâle et caressa gentiment le front laineux de Wuyan. Tout en réconfortant la petite démone mourante, il lui transmit un courant d’énergie spirituelle. Au même moment, la scène dans la sphère lumineuse commença à s’éloigner lentement. On pouvait voir qu’ils étaient effectivement sur une île isolée,  mais ce n’était pas l’île des chauves-souris où ils se trouvaient actuellement, c’était plutôt une autre île déserte. Cette île était très étrange. On ne pouvait pas en déceler le climat, mais tout était fleuri, les arbres portaient leurs fruits, que ce soit …

Chapitre 101 – La petite sœur offensée

Traduction française par Tian Wangzi << Chapitre précédent Chapitre suivant >> Même si le piège mielleux avait été mainte et mainte fois éprouvé, les beautés deviennent habituellement complètement empoisonnées lorsqu’elles sont prises dans l’estomac de l’ennemi, mais ce ne sont pas non plus toutes les beautés qui conviennent pour cette tâche importante. Par exemple, on peut envoyer Diaochan[1] coordonner les offensives internes et externes. Mais si on essaie de l’échanger pour Mu Guiying[2]? Naturellement, Gu Mang connaissait le tempérament de Mo Xi, il savait que les relations entre les hommes et les femmes l’horrifiaient. Puisque Mo Xi avait vu sa mère entretenir une affaire avec son oncle dans son enfance, il avait développé une grave mysophobie, et ce qu’il détestait par-dessus tout, c’était que les femmes entretiennent des pensées impures envers lui. Et surtout, il détestait les trahisons familiales. Dans ses 30 années de vie, Gu Mang avait été le seul avec qui il y avait pu prendre des libertés intimes sans vouloir le tuer. L’embarras, c’était l’embarras, mais en voyant les poings serrés de …