Chapitre 101 – La petite sœur offensée
Traduction française par Tian Wangzi << Chapitre précédent Chapitre suivant >> Même si le piège mielleux avait été mainte et mainte fois éprouvé, les beautés deviennent habituellement complètement empoisonnées lorsqu’elles sont prises dans l’estomac de l’ennemi, mais ce ne sont pas non plus toutes les beautés qui conviennent pour cette tâche importante. Par exemple, on peut envoyer Diaochan[1] coordonner les offensives internes et externes. Mais si on essaie de l’échanger pour Mu Guiying[2]? Naturellement, Gu Mang connaissait le tempérament de Mo Xi, il savait que les relations entre les hommes et les femmes l’horrifiaient. Puisque Mo Xi avait vu sa mère entretenir une affaire avec son oncle dans son enfance, il avait développé une grave mysophobie, et ce qu’il détestait par-dessus tout, c’était que les femmes entretiennent des pensées impures envers lui. Et surtout, il détestait les trahisons familiales. Dans ses 30 années de vie, Gu Mang avait été le seul avec qui il y avait pu prendre des libertés intimes sans vouloir le tuer. L’embarras, c’était l’embarras, mais en voyant les poings serrés de …