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Chapitre 67 – Rendre hommage

Traduction anglaise par congeebrain Traduction française par Tian Wangzi << Chapitre précédent Chapitre suivant >> Cette nuit-là, c’est Mengze qui ramena Mo Xi à son manoir. Ce genre de chose n’était pas digne de son rang de princesse, mais Mengze était comme son frère l’empereur, elle ne se souciait pas des conventions sociales. Gu Mang leva le rideau du carrosse pour elle, voulant aider Mo Xi, mais Mengze lui lança un regard réprobateur en disant : « Juste moi, ça suffit. » Gu Mang hésita : « Je suis désolé. Je ne voulais pas. Je voulais juste prendre le vin pour lui. » Mengze n’était pas cruelle envers lui, mais elle n’était pas gentille non plus. Elle le regarda simplement avec indifférence sans faire un son. C’est Yue Niang qui se moqua à ses côtés, disant durement : « Prendre le vin pour lui? En as-tu le droit? En es-tu digne? » Gu Mang fit une pause et dit : « Je viens d’apprendre des choses… je veux me racheter pour ça. » Yue Niang dit avec fermeté : « Te racheter pour ça? Tu as commis tellement de …

Chapitre 66 – Tu n’es pas digne

Traduction anglaise par congeebrain Traduction française par Tian Wangzi << Chapitre précédent Chapitre suivant >> Mo Xi avait un douloureux mal de tête, mais il grinça tout de même des dents et lutta pour se libérer, disant d’une voix basse : « Ça ne te regarde pas. Assieds-toi. » « Pourquoi vous parlez de son papa pendant une fête? » Gu Mang ne l’écouta pas. Mo Xi n’était pas sûr s’il se trompait, mais une colère qu’il n’avait jamais vu brillait dans ces yeux bleus habituellement vides. Gu Mang s’accrochait fermement au poignet de Mo Xi, semblait à la fois coupable et cherchant à se racheter. Il refusait de le lâcher. « Vous savez tous que son papa est mort il y a longtemps, non? Pourquoi… voulez-vous le rendre triste? » Les vieux salauds ne pouvaient plus prendre de coups à leur fierté, ouvrant la bouche pour cracher leur venin : « Créature dégoutante, tu oses offenser les nobles au palais?! » « Ton esprit est endommagé, alors tu viens ici pour faire des conneries! Dégage! Tu n’as pas le droit de parler! » Gu Mang ne …

Chapitre 65 – Xi-mei peut boire

Traduction anglaise par congeebrain Traduction française par Tian Wangzi << Chapitre précédent Chapitre suivant >> Lorsque Mo Xi et Mengze rentrèrent à l’intérieur, le grand hall était rempli d’invités. La princesse Yanping s’approcha d’eux dès qu’elle les aperçut, tout sourire, disant doucement : « Jiejie, beau-frère! Je vous souhaite de la paix et du bonheur! » Mengze toussa doucement, disant : « Les petites filles ne devraient pas raconter n’importe quoi. » Mo Xi lança un regard à la princesse Yanping. Ses tentatives de le séduire le jour où il était rentré flottaient encore dans ses yeux, mais cette fille pouvait prétendre que rien ne s’était produit. Son effronterie était vraiment surprenante. Yanping le regarda, clignant des yeux d’un air charmant : « Heheh, Xihe-jun pense constamment à ma sœur, il ne vous manque qu’un mariage à tous les deux, alors je peux bien vous appeler beau-frère. » Mangze : « …Yanping! » « D’accord, d’accord, je ne vous dérangerai plus. » Yanping lança un regard coquet à Mo Xi, « Mon charmant beau-frère, à plus tard. » Elle disparut dans une brume de poudre odorante, laissant derrière Mo Xi et …

Chapitre 64 – La douleur du cœur

Traduction anglaise par congeebrain Traduction française par Tian Wangzi << Chapitre précédent Chapitre suivant >> La terrasse Feiyao était décorée de lanternes en fleurs à de charmantes hauteurs irrégulières, tissées de bambou et de pâte de papier, comme une rivière d’étoiles brillant contre le ciel nocturne. La neige descendait sur le halo des lanternes, une légère couche voilant la laque rouge des balustrades gravées. Deux femmes se tenaient entre les lanternes et la neige, une portant une robe rouge et un court manteau brodé de papillons, riant et racontant quelque chose, alors que l’autre portait une robe jaune brodée d’une scène de bambous et de pruniers fleuris, se tenant contre la balustrade rouge et levant la tête pour regarder une lanterne en forme de poisson. Même si sa mémoire était déficiente, Gu Mang put presque immédiatement identifier la seconde comme étant Murong Mengze. Juste avant, dans le hall du palais, il pouvait sentir que l’expression de Mo Xi n’était pas tout à fait juste. Il le connaissait depuis longtemps, et il ne l’avait jamais vu …

Bonus – Avant

Traduction française par Tian Wangzi << Chapitre précédent Yan QingZhou n’aime pas les aubergines. Reconnu dans les trois mondes, il était surprenant que le jeune immortel qui venait de disparaître ait un côté aussi enfantin. Lin QiuBie était assis près de la fenêtre à regarder à l’extérieur, toujours aussi élégant, utilisant ses baguettes pour cueillir avec attention les aubergines frites dans le plat de Yan QingZhou en réfléchissant. Hm, il était plutôt adorable. « Shixiong. » Au son de la douce voix, Lin QiuBie se retourna soudainement. Yan QingZhou avait depuis longtemps déposé ses baguettes, et il regardait maintenant les siennes. « Hm… Qu’est-ce qu’il y a? » « Shixiong, les délicatesses du monde séculier te manquent? Pourquoi regardes-tu toujours Qingzhou[1]? » « …Je me remémorais juste quelques souvenirs, » répondit Lin QiuBie. Yan QingZhou fronça les sourcils, comme s’il se souvenait de quelque chose. Puis il rit doucement avant de dire d’une voix chaleureuse : « Des souvenirs? Shixiong, si tu veux en parler, Qingzhou écoutera. » « Te parler ne peut pas faire de mal non plus. » Lin QiuBie …